Encore Et Encore
Francis Cabrel
Encore Et Encore (Original Version)
D'abord vos corps qui se séparent
T'es seule dans la lumière des phares
T'entends à chaque fois que tu respires
Comme un bout de tissu qui se déchire
Et ça continue encore et encore
C'est que le début d'accord, d'accord...
L'instant d'après le vent se déchaîne
Les heures s'allongent comme des semaines
Tu te retrouves seule assise par terre
À bondir à chaque bruit de portière
Et ça continue encore et encore
C'est que le début d'accord, d'accord...
Quelque chose vient de tomber
Sur les lames de ton plancher
C'est toujours le même film qui passe
T'es toute seule au fond de l'espace
T'as personne devant...
La même nuit que la nuit d'avant
Les mêmes endroits deux fois trop grands
T'avances comme dans des couloirs
Tu t'arranges pour éviter les miroirs
Mais ça continue encore et encore
C'est que le début d'accord, d'accord...
Quelque chose vient de tomber
Sur les lames de ton plancher
C'est toujours le même film qui passe
T'es toute seule au fond de l'espace
T'as personne devant...personne...
Faudrait que t'arrives à en parler au passé
Faudrait que t'arrives à ne plus penser à ça
Faudrait que tu l'oublies à longueur de journée
Dis-toi qu'il est de l'autre côté du pôle
Dis-toi surtout qu'il ne reviendra pas
Et ça te fait marrer les oiseaux qui s'envolent
Les oiseaux qui s'envolent
Les oiseaux qui s'envolent
Tu comptes les chances qu'il te reste
Un peu de son parfum sur ta veste
Tu avais dû confondre les lumières
D'une étoile et d'un réverbère
Mais ça continue encore et encore
C'est que le début d'accord, d'accord...
Y a des couples qui se défont
Sur les lames de ton plafond
C'est toujours le même film qui passe
T'es toute seule au fond de l'espace
T'as personne devant...personne
Quelque chose vient de tomber
Sur les lames de ton plancher
C'est toujours le même film qui passe
T'es toute seule au fond de l'espace
T'as personne devant...personne...
Y a des couples qui se défont
C'est toujours le même film qui passe
Le même film qui passe
Again And Again
First, your bodies separate
You're lonely, lighted by the headlamps
Every time you breathe you hear
Like a piece of clothe that tears
And it continues, again and again
But it's just the beginning, okay, okay...
The minute right after the wind unfolds
Hours become weeks
You find yourself alone, sitting on the floor
Ready to bounce at every noise of car door
And it continues, again and again
But it's just the beginning, okay, okay...
Something just fell
On the wood of your floor
Always the same movie that passes
You're alone in space
Nobody in front of you...
The same night than the night before
The same places, two times too big
You step forward as in a corridor
You try to avoid the mirrors
But it continues, again and again
It's just the beginning, okay, okay...
Something just fell
On the wood of your floor
Always the same movie that passes
You're alone in space
In front of you... nobody...
You need to learn how to speak about it in the past tense
You need to stop thinking about it
You need to forget him, all day long
Tell yourself that he's on the other side of the planet
More importantly, tell yourself that he won't be back
And it makes you laugh the birds that take off
The birds that take off
The birds that take off
You count the chances that may be left
A bit of his perfume on your vest
Perhaps you were confused by the lights
Of a star and of a street lamp
But it continues, again and again
It's just the beginning, okay, okay...
There are couples that separate
On the wood of your ceiling
Always the same movie that passes
You're alone in space
In front of you... nobody...
Something just fell
On the wood of your floor
Always the same movie that passes
You're alone in space
In front of you... nobody...
There are couples that separate
Always the same movie that passes
The same movie that passes
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